[…] Il faudra que tout ça se mette en place très vite : un déclin annuel de 2,5 à 3 % des champs existants implique que près d’un quart de la production mondiale du géant texan se sera évaporée dans 10 ans. On comprend pourquoi M. Tillereson qualifie d’« irresponsables » les entraves faites au développement de la fracturation hydraulique (le pdg du groupe français Total, confronté au même problème de renouvellement de ses réserves, ne dit pas autre chose). […]
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